La fin des grèves qui avaient rassemblé une foule de fonctionnaires dans les rues de Johannesbourg, le 26 août 2010.
Reuters/Siphiwe Sibeko
La grève est officiellement terminée en Afrique du Sud, ce mardi 19 octobre 2010. Des syndicats représentant la majorité des fonctionnaires ont finalement accepté l’offre du gouvernement formulée voilà plus d’un mois.
Une augmentation de 7,5%, et une indemnité de logement de 800 rands, soit environ 80 euros, ont été accordées par le pouvoir sud-africain alors qu’au départ les grévistes réclamaient une hausse des salaires de 8,6% et 1 000 rands d’indemnité de logement.
La majorité des syndicats affiliés à la Cosatu (Congress of South African Trade Union) ont signé l’accord. Un absent de taille, toutefois : le syndicat des professeurs, la SADTU (South African Democratic Teachers’ Union), qui avait été en pointe lors de la grève.
Un test politique pour Zuma
Une autre centrale syndicale importante, l’ILC, a en revanche largement entériné le texte. La nouvelle a été saluée par le gouvernement : en août, les trois semaines de grève ont été très dures. Ecoles fermées, hôpitaux déserts, intimidation des non-grévistes et intervention des forces de l’ordre étaient au programme.
Le gouvernement avait expliqué qu’il ne pouvait pas, en terme budgétaire, satisfaire les revendications. L’affaire était devenue un véritable test politique pour le président Zuma.
Une augmentation de 7,5%, et une indemnité de logement de 800 rands, soit environ 80 euros, ont été accordées par le pouvoir sud-africain alors qu’au départ les grévistes réclamaient une hausse des salaires de 8,6% et 1 000 rands d’indemnité de logement.
La majorité des syndicats affiliés à la Cosatu (Congress of South African Trade Union) ont signé l’accord. Un absent de taille, toutefois : le syndicat des professeurs, la SADTU (South African Democratic Teachers’ Union), qui avait été en pointe lors de la grève.
Un test politique pour Zuma
Une autre centrale syndicale importante, l’ILC, a en revanche largement entériné le texte. La nouvelle a été saluée par le gouvernement : en août, les trois semaines de grève ont été très dures. Ecoles fermées, hôpitaux déserts, intimidation des non-grévistes et intervention des forces de l’ordre étaient au programme.
Le gouvernement avait expliqué qu’il ne pouvait pas, en terme budgétaire, satisfaire les revendications. L’affaire était devenue un véritable test politique pour le président Zuma.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire