Par journaldebrazza.com avec ACI - 02/05/2013
Un atelier a eu lieu, le 30 avril à Brazzaville, sur le thème: «Contribution des PME à la diversification de la production dans le secteur forêt et environnement en République du Congo: enjeux et pers
Il ressort de cette étude que l’environnement des affaires au Congo représente un véritable handicap à la diversification. En effet, les coûts élevés de transport et les délais d’attente particulièrement longs pour les services logistiques portuaires, l’accès au crédit et au marché d’insuffisance d’infrastructures de transport, la production d’énergie et de chaleur pour le séchage du bois pour accélérer sa transformation, constituent de véritables goulots d’étranglement à la diversification.
A cela s’ajoutent les conditions de mise en place des PME, car a-t-on appris, 57,3% contre 42,7%, trouvent non favorables les formalités de création de ces structures en République du Congo malgré, la mise en place du guichet unique en 2012. Les atouts naturels (forêts) du Congo Brazzaville, font de l’exploitation forestière de l’industrie de transformation du bois et des services marchands, des vecteurs potentiels de la diversification. Cependant, le pays, ne tire pas suffisamment de revenus de sa forêt, en raison d’un taux de transformation insuffisant et d’une faible maîtrise de la chaîne de valeur parce que la majorité du bois est exporté sous forme de grumes, a-t-il notifié.
Le gouvernement congolais a promulgué en 2000 un nouveau code forestier faisant obligation aux forestiers de transformer au moins 85% de la production sur place, sans aller jusqu'à une mesure d’interdiction totale des exportations des grumes comme en République gabonaise voisine. Mais, nombreuses des PME ne prennent pas en compte les préoccupations à la protection de l’environnement et pratiquent le comportement du passager clandestin dans le processus de l’exploitation forestière, a fait observer M. Samba. Prenant l’exemple du Cameroun et du Gabon, le conférencier a dit que le bois peut contribuer substantiellement à la croissance économique, à la création d’emplois et aux recettes de l’Etat. Ainsi, pour mieux valoriser cette filière, il va falloir initier un programme de transformation accrue du bois. Cette attitude a été financé par Trustafrica, une institution panafricaine de recherche basé à Dakar, capitale du Sénégal.
A cela s’ajoutent les conditions de mise en place des PME, car a-t-on appris, 57,3% contre 42,7%, trouvent non favorables les formalités de création de ces structures en République du Congo malgré, la mise en place du guichet unique en 2012. Les atouts naturels (forêts) du Congo Brazzaville, font de l’exploitation forestière de l’industrie de transformation du bois et des services marchands, des vecteurs potentiels de la diversification. Cependant, le pays, ne tire pas suffisamment de revenus de sa forêt, en raison d’un taux de transformation insuffisant et d’une faible maîtrise de la chaîne de valeur parce que la majorité du bois est exporté sous forme de grumes, a-t-il notifié.
Le gouvernement congolais a promulgué en 2000 un nouveau code forestier faisant obligation aux forestiers de transformer au moins 85% de la production sur place, sans aller jusqu'à une mesure d’interdiction totale des exportations des grumes comme en République gabonaise voisine. Mais, nombreuses des PME ne prennent pas en compte les préoccupations à la protection de l’environnement et pratiquent le comportement du passager clandestin dans le processus de l’exploitation forestière, a fait observer M. Samba. Prenant l’exemple du Cameroun et du Gabon, le conférencier a dit que le bois peut contribuer substantiellement à la croissance économique, à la création d’emplois et aux recettes de l’Etat. Ainsi, pour mieux valoriser cette filière, il va falloir initier un programme de transformation accrue du bois. Cette attitude a été financé par Trustafrica, une institution panafricaine de recherche basé à Dakar, capitale du Sénégal.
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